1) Une infrastructure verte [...] est un réseau qui apporte les « ingrédients » nécessaires pour relever les défis urbains et climatiques en construisant des structures naturelles, par exemple pour la gestion des eaux de pluie, l’adaptation aux changements climatiques, la réduction du stress thermique, l’accroissement de la biodiversité, la production alimentaire, l’amélioration de la qualité de l’air, la production d’énergie durable, l’assainissement de l’eau et la santé des sols, [...], l’amélioration de la qualité de vie au travers des loisirs et la mise à disposition d’ombre et d’abris à l’intérieur des villes et aux environs. 2) L’infrastructure verte apporte aussi un cadre écologique pour la santé sociale, économique et environnementale du milieu ambiant.
3) L’infrastructure verte est considérée comme un sous-ensemble d’une infrastructure durable et résiliente (dans le contexte d’une infrastructure d’énergie renouvelable, « une infrastructure à faible émission de carbone » dans le contexte des transports publics). 4) Réseau planifié de manière stratégique et spatialement cohérent composé, par exemple, de zones protégées, de réseaux écologiques (forêts, terres agricoles, zones humides, plans d’eau et cours d’eau gérés de manière durable), de parcs et d’espaces verts urbains. (Source : compilation de diverses définitions provenant de Wikipedia et du site de la Convention des Carpates)